hey y a quelqu'un ? 3

[jejetoulouse]

Bonsoir amis du bar !

Un Jenesaisquoi et la suite de mon livre ! Vite !

Chapitre 4 :

Tout le monde se bougea. Il y avait deux groupes. Le premier était composé de McTempus, Gladys et Eric. Et le deuxième de Martin et d’Amanda. Le premier groupe était chargé de trouver les pièces pour le gadget et l’autre de se procurer des grenades vides. Pourquoi des grenades vides ?! Et bien heu… Enfin… Vous savez bien…Ecoutez un expert en la matière :
-Bien, vous, allez me chercher des grenades vides, on les remplira avec le matériel explosif pour faire réapparaître la plaque. En ces temps de guerre, vous allez vite en trouver. De notre côté, nous allons réunir toutes les pièces nécessaires à la construction du gadget : autant dire que l’on a du boulot ! Mettons-nous en route !

Le premier groupe se mit en route vers Shopping Street. Plus de deux mille boutiques se trouvaient là et sur à peine dix milliards de kilomètre carré ! Le bâtiment où rentraient nos amis scientifiques était haut d’environ deux kilomètres et demi et était entièrement de verre. La première chose que nos aventuriers remarquèrent est qu’il n’y avait pas d’ascenseur. Non, il y avait une centaine de téléporteurs dans un immense hall fleuri d’innombrables sortes de végétation. McTempus entra alors dans l’une des cabines de téléportation et il entendit soudainement une voix robotique dire :
- Quel étage s’il vous plaît ?
- Hum, Gladys, c’est quel étage le Scientificus Store…
Il fut coupé par la cabine :
- Scientificus Store ? Très bien monsieur.
C’est alors qu’en une fraction de seconde, le corps du vieux scientifique disparut dans une épaisse fumée blanche et un petit éclair de lumière verte. La cabine se mit alors à dire « Suivant s’il vous plaît ». Chacun leur tour, les membres de la confrérie du professeur entrèrent dans la cabine et se retrouvèrent deux cent étages plus haut, devant l’entrée du magasin de chimiste le plus réputé de l’univers : le Scientificus Store. Plus de deux cent mille mètres carré de rayons dédiés à la passion de la physique et de la chimie !

De leur côté, la deuxième équipe se dirigea vers l’Avenue de la Défense. Dans cette avenue, il n’y avait que des armureries ; de la simple vente d’arme à feu, à la vente de d’abris contre toutes les armes ! Inutile de se rendre dans cette dernière. Une simple armurerie suffira. Ils entrèrent dans la première venue et un homme imposant, chauve, en tenue de militaire et avec une cigarette dans la bouche se présenta devant eux.
-M’dame, m’sieur, que recherchez-vous ? J’ai des vieux colts de 14-18 ou des bazookas…tout dépend de ce contre quoi vous voulez vous protéger ! Regardez cette arme…Dernière technologie, design…
-Non non, cher monsieur, nous recherchons juste cinq grenades vides.
-Pfff…Chiffe molle…
Martin et Amanda se regardèrent l’un l’autre, étonnés. Le vendeur, déçu, partit dans son arrière-boutique et sélectionna cinq belles grenades ; les plus chères bien sûr !
-Tenez m’dame ! J’vous en fait cadeau !

La première équipe (Dans la tour de verre) venait de finir leurs courses. Le moment était venu de redescendre. Seulement, les téléporteurs ne marchent que dans un sens ! Et là, McTempus remarqua la présence d’escaliers, mais pas d’ascenseur…Il se dirigea vers un agent de sécurité et lui demanda :
-Excusez-moi monsieur !
-Madame, je vous prie…
-Oh ! Oui, je vois…Hum, comment fait-on pour redescendre ?
-Et bien, vous voyez les dix-huit mille sept cent cinquante-sept marches sur votre droite…
-Oui, on ne voit que ça !
-Et bien, vous les prenez pour descendre !
-Oh seigneur !

C’est ainsi que nos trois amis commencèrent leur longue et périlleuse descente…


La suite dans trois quarts d'heure !

Amicalement,
Jejetoulouse

[eaglepitts]

Yepee yep le bar !
Arrgh ! la suite... super depuis le temps qu'on attend !

Suite aussi pour Randall !

...........................

AQ un moment de la grimpette j'arrondis... le plus doucement possible... Mais 1.5 g négatif quand même ! Une bête cet engin j'ai 3000 heures sur Phantom et je ne sais toujours pas virer à moins de 1 G ! J'essaie de temps a autre de sonder mes camarades mais sans avouer que je suis un "bourrin" du manche... Mais je ne sais toujours pas si les autres sont plus délicats que moi...

En tout cas Clifton ne m'en dit rien quand à l'autre locdu de Oss, vu les marsouinages qu'il nous fait en permanence les "G" il s'en fout...

La cote apparait opale à cette altitude, altitude au hasard, puisque c'est moi qui décide et qu'il n'y a jamais personne dans cette espace interdit à ce qui n'est pas Américains... Un vague trafic d'Intruders en fin de mission plus au sud... Et bien sur des hélicos partout... mais tout en bas...

Le reflet sous mon pare brise gauche de la tronche de Buck Danny me gâche le survol de la cote... Je vais balancer le bouquin sur la console de Clif... Et voilà peinard... Il ne dit rien et nous peaufine la nav.

- Abat un peu Randall ! Ouais tu y es ! T'as vu on vois les rizières d'ici c'est p***** beau !

De fait on distingue à peine un maillage de filets un peu plus foncés qui dessine des arabesques dans le lointain c'est en effet le plus grand réseau de rivière du pays...

- Tu as vu qu'ils nous ont encore collé des "Sparows" !?
- Vu !
- Ça fait deux ans qu'on a plus vu un Mig ou je ne sais quoi et on embarque encore des missiles air air... !?
- C'est pas pour toi, c'est pour la bonne conscience du "Pacha" et surtout pour les actionnaires patriotes qui s'inquiète pour nous !

- Tu vois à onze heures les nuages ?
- Yep ! C'est là ! Demande d'appuis et dégagement du col ! avec du lourd pas lésiner signer Cooper ! (dit Clif avec enthousiasme)

- Right man ! Ecore quelques tonnes de viandes grillés commander par l'oncle Sam... A table !
- Randall ! La ferme fait ton boulot sans me faire flipper à chaque fois ! pas vrai ça...

- Alors chef ! tu la vois ta cible pour une fois ? (Osswall) Non ! parce que sinon tu me suis...

On s'aligne tranquillement il y en a au moins pour trois minutes de répit avant que l'on soit sur le col... D'ici là on va en recevoir des instructions des considérations... etc ! Tiens ! ça commence il y a un "Bird Dog" qui nous appelle pour nous dire qu'il est sur zone en repérage...

[Greenhopper]

La porte claque, un ...ours ou du moins un homme de la stature d'un ours et avec un regard de Grizzly entre dans le mess. Aussitôt, en voyant la douce quiètude qu'il a troublé, le monstre de plus de 240 livres se replie sur lui même et tente de se faire passer pour...l'ombre de la petite lampe au coin du bar.
D'un voix érayée par trop de cigarettes, de nuits blanches (à fumer, d'autre à boire peut-être) il commande en sourdine un café bien serré accompagné d'un doigt de Four roses. Il s'exprime en français mais avec un drôle d'accent... Sa voix, son ton ne vont pas avec sa stature. Avons nous déjà vu un Kodiak s'exprimer posément et un Lieutenant se montrer humble devant un deuxième classe?
L'individu porte encore ses lourds oripeaux de vols. Une flight jacket et un énorme (il n'y a pas d'autre adjectif) pantalon en cuir doublé, non, triplé de mouton! on peut voir à travers l'échancrure de son blouson ouvert la texture solide mais bon marché d'un uniforme bleu marine. Malgré son accoutrement il porte une belle et fine cravate marine. Alors que l'individu lève le coude pour boire son café goulument, les plus fin observateurs auront noté la petite croix de Lorraine et le minuscule drapeau bleu-blanc-rouge qui l'accompagne. Moi j'ai surtout noté les grades qui ornent sa flight-suit, cet ours fatigué est un capitaine!
Un Froggies? Gradé? Chez les bombardiers? Je me lève timidement, je m'approches de ce...jeune homme. il dois avoir...quoi, deux ans de plus que moi à tout casser! Aller, je suis large, il a 25 ans! Je ne sais pas comment l'aborder, il a l'air si fatigué, si grave, si.... Et je me sens si jeune (à deux ans près) et si stupide! De plus je ne suis que sous-lieutenant. Je me lance, stupide camaraderie, besoin d'avoir des références françaises en cette période d'horreur.
Je tente un garde à vous des plus réglementaires et lui sert du mon Capitaine! J'ai réussi, probablement à cause de mon français à attirer l'attention de l'ours, par contre, ce que je vois dans les yeux du capitaine me glace le sang. Il y a du dégout, de la pitié et une immense fatigue. Une fatigue qui ne peut être portée par un être HUMAIN!
Timidement je lui offre un verre. J'attends le temps qu'il faut...Il est des questions que l'on ne peut poser à brûle pourpoint même si elles vous rongent. Finalement, en fin de nuit, alors que nous avons fait connaissance, à moi le blanc-bec il confie ce qui le ronge! Ce qui me ronge aujourd'hui encore...il a rasé Caen! Il a rasé cette belle ville sur ordre d'Eisenhower malgré l'avis contraire de Churchill et de De Gaulle. Il a tué des civils français, lui, leur défenseur!
Aujourd'hui, j'espère que ce héros a trouvé la réponses a ses questions et à ses doutes. Il n'était qu'un exécutant! Un exécutant oui, mais avec une part d'humanité en plus!

[jejetoulouse]

Bonsoir amis du bar !

Si vous n'y êtes pas déjà allé, allez faire un tour du côté des dédicaces...

Comme promis, voici le Chapitre 5 !

Après leur descente infinie, le professeur et ses associés se remirent en route, vers le vaisseau, au même titre que leurs confrères partis à la recherche des grenades. C’est à exactement trois heures, dix-sept minutes, quarante-trois secondes et deux cent quatre-vingt-six millièmes (Heure du méridien de Redwich) que tous se retrouvèrent au vaisseau. Tous se placèrent autour de la table de la salle de conférence et McTempus pris la parole.

« Bien, maintenant que nous avons réuni tous les éléments, nous pouvons nous atteler à la construction du gadget. Je tiens à vous prévenir, ce ne sera pas de tout repos ! Il y aura des nuits blanches, des angoisses et surement des décès ! Ah non, attendez… Je me suis trompé de fiche ! Bref, je reprends ; la construction sera très dure ! Il faut de la précision et du savoir-faire ! Ainsi, la finalisation sera réalisée par mes soins. Gladys, remplissez les grandes avec le mélange que vous et Eric allez faire; Amanda, vous êtes douée en électricité, vous allez donc me faire les branchements de la gâchette, des ampoules et des autres petits détails ! Pour finir, Martin, vous avez la plus grande expérience, donc vous allez superviser le tout. Messieurs dames, au travail ! »

C’est alors que Gladys et Martin partirent dans le laboratoire du vaisseau. Tous les instruments qui se trouvaient là sont entretenus avec le plus grand soin et dieu sait qu’il y en a beaucoup ! Le mélange qu’ils vont réaliser est composé de nitroglycérine, et de farine…Plutôt étrange, mais c’est la recette ! En revanche, les dosages sont à réaliser avec extrêmement de minutie, car le moindre écart pourrait tout faire sauter ! Autant dire que leur responsabilité est des plus grandes !

Amanda a fait des études en électricité avant de rejoindre l’équipe de McTempus. C’est donc elle la mieux qualifiée pour faire tous les liens électriques de l’arme (Oui toute l’arme est électrique !). C’est une des tâches les plus importantes, car le moindre petit défaut pourrait faire brûler le contenu de la balle grenade et faire disparaître à jamais notre fine équipe !

Eric, lui, a l’un des rôles les plus soft ! Il fait semblant de regarder ce que font les autres toutes les dix minutes…

McTempus, lui, a droit à un repos des plus mérités ! Cela fait maintenant deux cent quatre-vingt-dix heures qu’il n’a pas dormit pour élaborer tous les plans. Mais, croyez-moi, il ne va pas se reposer très longtemps, car un homme vêtu d’un chapeau et d’un long manteau noir venait de pénétrer dans le vaisseau. Il tomba en premier sur Eric, occupé à se prélasser sur un pouf Mikéa. Ce dernier se leva en sursaut lorsqu’il sentit sur son dos le contact de le bout tout chaud d’un revolver.


La suite demain...

Amicalement,
Jejetoulouse

[eaglepitts]

"la gâchette toute chaude d'un revolver" ça... je dois bien le dire cela m'a paru.... bizarre !

Mais super ! très marrant ce texte... On attends la suite avec gourmandise !

Randall c'est moins drôle... Mais je vais quand même poursuivre un peu... (si vous le voulez bien !? Comment pas de réaction... OK qui ne dit mots consent...)

..................................

- Salut Birdy ! ça ce présente comment ?

La voie tranquille, un pilote nous décrit les positions... nos gars coincés en contre bas d'un rocher, des "Viéts" quasi partout autour... Ils ne tiennent que parce que le relief dévoile le Vietmin dès qu'il s'approche... Bref ! sont pas à la maison ce soir si on ne zigouille pas les termites... !*

Birdy nous aperçoit avec nos belles trainées noires et nous donne son avis sur l'axe a prendre... Ok ! man on ne discute pas, on écoute et on fait tout comme il faut...

Je vois le rocher, le relief, la cuvette où sont les GI's la route à droite où ils sont en train de se rassembler, nous dit le "Bird" qui continue ces observations malgré les tirs qui le touche parfois... Ça piaule dans les écouteurs... Ce gars est soit inconscient suicidaire ou zombi...?

Moi j'ai les bombinettes, aller hop ! deux fois 200 livres sur la crête... Mais heureusement qu'ils ne sont pas complétement idiots en bas... a voir le manège du Bird ils ont compris depuis longtemps que nous arrivions. Oss me suis le nez dans l'aileron... C'est un bon ! 37000 heures...

On s'envoie notre premier virage, quatre kilomètres en tirant un peu... et nous revoilà !
Le "Bird" décrit les mouvements et semble contrarier que nous n'ayons pas tout balayé... Oh du calme mon garçon !

Oss veux absolument arroser la zone de repli des "Viéts" avec ses bidons spéciaux... Malheureusement je n'ai aucun moyen pour empêcher ça... alors, pendant que je casse le rocher... il nous ouvre une avenue de huit cent mètres sur cinquante dans un geyser de feu...

Beurk !

..............................

Tiens je crois que je vais m'arrêter là... Je ne vois plus de plaisir a m'immerger dans cette histoire... Pourtant j'avais bien sentis en Randall de quoi redresser et humaniser cette partie de vie de pilotes pendant ce conflit... mais là je cale !

En fait je ne supporte pas bien... malgré mon amour pour le McDonnell F 4 Phantom... Ce qui m'amène à dire que lorsque l'on s'extasie sur nos extraordinaires machines de chasse**, heureusement que personne ne fait l'effort de penser ces engins en situation...

** De chasse... ce n'est guère vrai tant ils sont spécialiser d'en l'emport de charges... Le combat tournoyant c'est pour la légende... Le "story stelling"

Ben voilà je reviendrais avec autre chose à raconter au bar... j'ai tenté le cynisme... Ma ! c'est pas fait pour moi !



* De fait il n'est pas bon de penser comme nos ainés ont put le faire en ces circonstances...

[jejetoulouse]

Bonsoir amis du bar !

EDIT : J'ai modifié mon texte...Ce n'était pas gâchette, mais "le bout brulant d'un revolver"...

Deux Jenesaisquoi ce soir ! Et la suite de mon livre !

Chapitre 6 :



Eric se leva en sursaut et ouvrit la bouche pour crier, mais avant qu’un seul son ne sorte de celle-ci, l’homme au chapeau noir dit : « Non, non, non…Vous ne voulez tout de même pas que je vous troue la peau, n’est-ce pas ? Allez ! Avancez maintenant ! ». L’homme, dont le visage était caché par l’immense chapeau, retira ce dernier pour laisser voir son visage si connu :

-V..v…vous êtes le Professeur Rik ! Vous êtes parti dans le futur dix ans auparavant ! Traitre ! Vous faisiez partie de notre confrérie et vous nous avez lâchés à cause d’une « découverte » personnelle ! Ah ! Je comprends mieux votre petit jeu ! Qu’est-ce que fous fichez là ? Je suppose que vous voul…
-ASSEZ ! Ferme–là Eric ! Amène-moi jusqu’au vieux !
-McTempus sera bien étonné de vous voir !
-Je t’ai dit de la fermer !

C’est alors qu’Eric avança, le revolver collé au milieu du dos. Ils passèrent devant Gladys et Martin, en train de préparer la fameuse substance qui leur sauverait la vie, devant Amanda, occupée à faire ses branchements et arrivèrent derrière le grand fauteuil où s’était affalé le professeur.

-Hey oh ! Vieux croulant ! Lève-toi !
-Seigneur ! Rik que faites-vous ici ?! Qu’est-t-il arrivé à votre visage ?!
-Oui…Quand je suis arrivé en 2990, la guerre faisait encore plus rage que maintenant ! Six ans durant j’ai dû servir contre mon gré ! Dix ans durant j’ai vécu en cette terrible époque ! Le résultat se fait voir sur mon visage ! Cette énorme cicatrice noire tout le long de ma joue, les brulures en bas de mon cou…Et aujourd’hui j’ai l’occasion de revenir à mon époque ! Je ne vais pas laisser ma chance passer comme ça ! Vous allez m’emmener avec vous !
-Non ! Dix ans durant j’ai cherché le moyen de voyager dans le temps ! Vous m’avez lâché car vous, vous aviez trouvé ! Donnez-moi une seule raison de vous permettre de rentrer à la maison !
-Regarde, aveugle ! Tu vois ce flingue ?!
A peine eu-t-il prononcé ces mots, qu’il chargea l’arme et tira sur Eric.
-Qu’avez-vous fait ! Eric ! Répondez-moi !
-Bouge pas ! Ou je te tire une balle !
-C’est ça ! Allez-y ! Que feriez-vous sans moi ? Vous ne pourriez finaliser le gadget tout seul ! Les plans sont dans ma tête, et moi seul pourra finaliser le gadget !

Rik se résigna et abaissa l’arme. Amanda appela en vitesse les secours et bientôt la sirène de l’ambulance hurlait dans les rues de Los Space Angeles. Mais Eric allait-il s’en sortir ? A première vue c’était bien parti…A première vue…

La suite demain...

Amicalement,
Jejetoulouse

Comme les modérateurs ont demandé de faire un nouveau sujet toutes les dix pages, la suite de nos rêves devra se faire ici

[Charlie Alfa]

06:34 Le Bar est fermer je le sais bien...
Yé viens juste nettoyer les vitres... Oki je ne me sert pas des jenesaisquois...
Si Si promis !
Aller bonne journée les enfants, soyez sage et pas de bêtises sinon Charlie se fâche