Mes petits vols
- jejetoulouse
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Re: Mes petits vols
Bonsoir,
Cher Greenhopper, télégramme reçu !
Les textures de l'appareil sont très belles !
Encore un bon moment passé ! -STOP-
Amic'
Jejetoulouse
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Amic'
Jejetoulouse
Un soucis sur le forum ? N'hésitez pas à me contacter par Message Privé !
C'est par ici : http://www.rikoooo.com/fr/forum/user/co ... pm&u=49959
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- eaglepitts
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Re: Mes petits vols
Salut le amis des ailes !
Okay ! -stop-
M'en doutais, mais bien quand même -stop-
Pour Vexin, évident -stop-
Pour Piaggio à voir - enquête en cour -stop-
Félicitations -stop-
A + -stop-
-stop-
Okay ! -stop-
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Félicitations -stop-
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Re: Mes petits vols
Salut !
Ca c'est très très bon..........stop !
Amitiés, epdu85
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Amitiés, epdu85
- Greenhopper
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Re: Mes petits vols
Bonjour,
Sombre dimanche, plein de vent, de pluie et de fureur sur nos côtes De la Manche. Un temps à ne pas mettre un avion dehors. Hélas, certains l'on fait....Et c'est un drame.
J'ai trainé mon vague à l'âme jusque ce matin. Je m'ennuyais de mon cher Meyers et je savais que l'inspecteur de la DGAC risquais de passer aujourd'hui. Vers dix heures coup de téléphone affolé de la tours de Lourdes-Tarbes. Ma présence était requise en fin de matinée ou au pire en tout début d'après-midi. Je sentais aussitôt monter une boule d'angoisse et de colère. Quel imbécile, je m'étais éloigné de mon avion inconsidérément et je ne savais comment arriver à Tarbes à temps. Lézignan-Tarbes ce n'est pas le bout du monde, mais un lundi matin, sans moyen de transport. Je commençais à me décider à appeler un taxi, la mort dans l'âme, car je savais que je serais fatalement en retard lorsque j'entendis un feulement caractéristique qui me fit tourner la tête. Ce sifflement mélodieux, cette allure élancée...Je restais comme un enfant auprès de la piste a admirer une belle flèche brillante animée par deux réacteurs Marboré IV. Cette beauté arborait les couleurs de la royale (ancre sur cocarde) sur une magnifique robe aluminium.
A peine le Morane Saulnier 760 Paris stoppé je me ruais pour l'admirer au plus près. Je fus arrêté net dans ma course lorsque je reconnu le beau jeune homme qui descendait de sa carlingue! Je n'en croyais pas mes yeux. Mon héro, mon vieil ami Michel Tanguy! Le plus grand choc ne fut pas de le voir descendre d'un avion, chose somme toute naturelle, mais dans mon souvenir d'enfant, il avait 25 ans, alors que j'en avais 10. Déjà à l'époque j'avais tiqué lorsque mon père m'avait dit le connaitre depuis 1959 et qu'à l'époque il devait avoir à peu près...25 ans! Je m'étais figé sur le tarmac sous le coup de la surprise, lorsqu'il se tourna vers moi après avoir déposé ses affaires dans le cockpit, son grand sourire m'indiqua qu'il m'avait reconnu. Nos retrouvailles furent un enchantement. Ce garçon était le charme incarné. Nous discutions à bâton rompu de sa présence ici, en fait une mission de test de ce magnifique appareil destiné a rejoindre un musée volant des avions nationaux réformés (Puisse cela arriver un jour), lorsqu'il s'arrêta net. "Mais, dis moi Green, que fais tu si loin de ton quart Nord ouest? Cela ne te ressemble de t'en éloigner tant?
Je lui racontais alors par le menu, mon périples, mes erreurs et mes errances. Il parti d'un grand rire chaleureux et me dit de monter à bord de son bijou. Il allait m'emmener à Lourdes-Tarbes même si ce n'était pas forcément rendre service à l'aviation en général et à mon vieux Meyers en particulier!
Le voyage à bord de cette merveille de MS 760, père de tout nos jets privés de luxe, fut un enchantement.
Les formalités toutes "bureaucratiques" de la DGAC accomplies, non sans quelques rires de mon cher Tanguy, je pu enfin rejoindre mon vieille oiseau. Il avait été materné par un charmant mécanicien dans les yeux duquel je cru lire un peu de jalousie.
Je reparti tout de suite pour LFMZ, non sans promettre à Michel Tanguy de passer le voir à Istres, car le temps près des Pyrénées est un traitre de cape et d'épée. Grand bien m'en pris, à mi chemin Tanguy passa devant moi et m'avertis qu'a quelques dizaines de noeuds de Lézignan les choses se gâtaient.
Je soignais mon arrivée sur LFMZ, avoir été vu en compagnie de Michel Tanguy et se poser comme un kangourou, casse toute crédibilité!
Amicalement, Greenhopper.
Sombre dimanche, plein de vent, de pluie et de fureur sur nos côtes De la Manche. Un temps à ne pas mettre un avion dehors. Hélas, certains l'on fait....Et c'est un drame.
J'ai trainé mon vague à l'âme jusque ce matin. Je m'ennuyais de mon cher Meyers et je savais que l'inspecteur de la DGAC risquais de passer aujourd'hui. Vers dix heures coup de téléphone affolé de la tours de Lourdes-Tarbes. Ma présence était requise en fin de matinée ou au pire en tout début d'après-midi. Je sentais aussitôt monter une boule d'angoisse et de colère. Quel imbécile, je m'étais éloigné de mon avion inconsidérément et je ne savais comment arriver à Tarbes à temps. Lézignan-Tarbes ce n'est pas le bout du monde, mais un lundi matin, sans moyen de transport. Je commençais à me décider à appeler un taxi, la mort dans l'âme, car je savais que je serais fatalement en retard lorsque j'entendis un feulement caractéristique qui me fit tourner la tête. Ce sifflement mélodieux, cette allure élancée...Je restais comme un enfant auprès de la piste a admirer une belle flèche brillante animée par deux réacteurs Marboré IV. Cette beauté arborait les couleurs de la royale (ancre sur cocarde) sur une magnifique robe aluminium.
A peine le Morane Saulnier 760 Paris stoppé je me ruais pour l'admirer au plus près. Je fus arrêté net dans ma course lorsque je reconnu le beau jeune homme qui descendait de sa carlingue! Je n'en croyais pas mes yeux. Mon héro, mon vieil ami Michel Tanguy! Le plus grand choc ne fut pas de le voir descendre d'un avion, chose somme toute naturelle, mais dans mon souvenir d'enfant, il avait 25 ans, alors que j'en avais 10. Déjà à l'époque j'avais tiqué lorsque mon père m'avait dit le connaitre depuis 1959 et qu'à l'époque il devait avoir à peu près...25 ans! Je m'étais figé sur le tarmac sous le coup de la surprise, lorsqu'il se tourna vers moi après avoir déposé ses affaires dans le cockpit, son grand sourire m'indiqua qu'il m'avait reconnu. Nos retrouvailles furent un enchantement. Ce garçon était le charme incarné. Nous discutions à bâton rompu de sa présence ici, en fait une mission de test de ce magnifique appareil destiné a rejoindre un musée volant des avions nationaux réformés (Puisse cela arriver un jour), lorsqu'il s'arrêta net. "Mais, dis moi Green, que fais tu si loin de ton quart Nord ouest? Cela ne te ressemble de t'en éloigner tant?
Je lui racontais alors par le menu, mon périples, mes erreurs et mes errances. Il parti d'un grand rire chaleureux et me dit de monter à bord de son bijou. Il allait m'emmener à Lourdes-Tarbes même si ce n'était pas forcément rendre service à l'aviation en général et à mon vieux Meyers en particulier!
Le voyage à bord de cette merveille de MS 760, père de tout nos jets privés de luxe, fut un enchantement.
Les formalités toutes "bureaucratiques" de la DGAC accomplies, non sans quelques rires de mon cher Tanguy, je pu enfin rejoindre mon vieille oiseau. Il avait été materné par un charmant mécanicien dans les yeux duquel je cru lire un peu de jalousie.
Je reparti tout de suite pour LFMZ, non sans promettre à Michel Tanguy de passer le voir à Istres, car le temps près des Pyrénées est un traitre de cape et d'épée. Grand bien m'en pris, à mi chemin Tanguy passa devant moi et m'avertis qu'a quelques dizaines de noeuds de Lézignan les choses se gâtaient.
Je soignais mon arrivée sur LFMZ, avoir été vu en compagnie de Michel Tanguy et se poser comme un kangourou, casse toute crédibilité!
Amicalement, Greenhopper.
- Greenhopper
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Re: Mes petits vols
Bonjour,
Quelle aventure! Il s'en est passé des choses en deux jours! Hier, voyant le beau temps revenu je décidais de faire une toute petite étape entre Lézignan Corbières (LFMZ) et la belle Montpellier (LFMT). Les conditions étaient vraiment idéales et j'étais frustré d'arrivée si vite sur cette magnifique cité. Après une minute d'hésitation et n'ayant rien de mieux à faire au sol, je décidais de prolonger ce vol jusqu'à...Nice! Oui, je sais, la distance est beaucoup plus grande que celle que j'avais prévu au départ mais je ne me sentais pas d'aller respirer les odeurs de crème à Bronzé. La méditerranée était belle, j'étais disposé à ne plus me poser!
Mon vol était un ravissement. Arrivée à proximité d'Istres (LFMI), je n'omettais pas de me présenter et de demander une autorisation de survol. La voix qui me répondit me donna des sueurs froides. Elle m'enjoignait de m'éloigner au plus vite faute de quoi je serais immédiatement pris en chasse! Je commençais un 180° en hâte pour éviter la zone quand un grand éclat de rire retenti dans mes écouteurs. Ho ce rire! Je le reconnu immédiatement. C'était ce grand escogriffe d'Ernest Laverdure! Ce dernier avait appris de Tanguy mon passage probable dans la région aujourd'hui et c'était renseigné auprès du contrôle de LFMZ de l'heure de mon départ. Il n'avait plus eu qu'à soudoyer le radio de garde pour me jouer un mauvais tour.
Heureux de son coup, il me donna rendez-vous le lendemain à Nice m'assurant que je serais étonné! Les surprises de Laverdure peuvent être détonantes aussi, je me méfiais. Je lui demandais quand même si je pouvais continuer mon vol sans avoir à faire un trop grand détour pour éviter le fort de Brégançon. Il me rassura en m'assurant que son locataire si ombrageux n'étais pas sur place ce jour.
Je traversais néanmoins la zone sans frémir ne serait-ce que du bout d'une aile. Il est des zones où il ne faut pas jouer au mariole.
Mon arrivée à Nice fût un ravissement, la baie des anges porte bien son nom.
Cet après-midi, je me rendis à LFMN avec une appréhension assez marquée. Ce diable de Laverdure était capable des pires blagues. J'en fût pour mon angoisse. Dès mon arrivée je fus accueilli par un Ernest volubile qui m'expliqua avec force bourrades qu'il voulait participer à mon tour de France. Il me conduisit vers un superbe T33 et m'expliqua que ce serait notre moyen de rallier Calvi (LFKC) où m'attendais la plus grosse surprise. Alors que je m'installais le plus confortablement possible (c'est à dire en total inconfort) pour profiter de ce voyage en tant que passager, le diable d'homme m'annonça que je serais le pilote. Cette fois j'avais une boule d'angoisse et je savais d'où elle venait.
Le décollage fût assez propre, si l'on excepte que la montée en puissance excessivement progressive sur ce genre d'engin me faisait craindre de ne pas avoir assez de piste. A 600 pieds, je rentrais les volets et ne faisait pas le fier lorsque la voix goguenarde de mon passager me fit comprendre que j'avais été découvert: "Dis moi Green (mon ancien indicatif), tu comptes traverser la grande bleue au ralenti?" Je fus obliger d'admettre que je ne trouvais pas la commande du train sur ce fichu appareil américain. Il reparti d'un rire tonitruant et me dis de baisser les yeux à gauche jusqu'au plancher. La traitresse était là. Quand le train fût entré l'avion pris régulièrement de la vitesse.
Je bénéficiais tout le trajet des bons conseils de ce grand blagueur et pilote remarquable. Mon approche fût sans histoire et je posais cette pièce de musée sans trop d'histoire, pas au centre de la piste, mais bon, ces machines sont très rustiques et très...particulières.
La surprise qui m'attendais dans l'île de beauté était au delà de ce que je m'étais imaginé. Le vol jusqu'ici n'avait été qu'un contrôle. Je devais à présent acheminer un des héros de ma jeunesse jusqu'à Solenzara (LFKS) où il serait pris en charge par les militaires pour le fameux musée volant des avions de la république.
Ce fauve qui m'a tant fait rêver dans ma jeunesse était un superbe Dassault Mystère 4. J'étais ému aux larmes, tel un petit garçon à qui l'on confit le plus beau jouet du monde! Le décollage au commande de ce pure sang fût un ravissement.
La traversée de la Corse se passe d'ailleurs de mots!
Mon arrivée Solenzara me laissa un goût de trop peu,
je m'appliquais à poser ce bel oiseau qui avait concouru, en temps de paix, à faire respecter la France.
J'eus du mal à m'éloigner de ce vénérable chasseur mais je savais qu'Ernest m'avait fait là un cadeau inestimable. De plus, je soupçonnais l'animal de me réserver une autre surprise pour mon retour sur le continent.
(A suivre)
Amitié, Greenhopper.
Quelle aventure! Il s'en est passé des choses en deux jours! Hier, voyant le beau temps revenu je décidais de faire une toute petite étape entre Lézignan Corbières (LFMZ) et la belle Montpellier (LFMT). Les conditions étaient vraiment idéales et j'étais frustré d'arrivée si vite sur cette magnifique cité. Après une minute d'hésitation et n'ayant rien de mieux à faire au sol, je décidais de prolonger ce vol jusqu'à...Nice! Oui, je sais, la distance est beaucoup plus grande que celle que j'avais prévu au départ mais je ne me sentais pas d'aller respirer les odeurs de crème à Bronzé. La méditerranée était belle, j'étais disposé à ne plus me poser!
Mon vol était un ravissement. Arrivée à proximité d'Istres (LFMI), je n'omettais pas de me présenter et de demander une autorisation de survol. La voix qui me répondit me donna des sueurs froides. Elle m'enjoignait de m'éloigner au plus vite faute de quoi je serais immédiatement pris en chasse! Je commençais un 180° en hâte pour éviter la zone quand un grand éclat de rire retenti dans mes écouteurs. Ho ce rire! Je le reconnu immédiatement. C'était ce grand escogriffe d'Ernest Laverdure! Ce dernier avait appris de Tanguy mon passage probable dans la région aujourd'hui et c'était renseigné auprès du contrôle de LFMZ de l'heure de mon départ. Il n'avait plus eu qu'à soudoyer le radio de garde pour me jouer un mauvais tour.
Heureux de son coup, il me donna rendez-vous le lendemain à Nice m'assurant que je serais étonné! Les surprises de Laverdure peuvent être détonantes aussi, je me méfiais. Je lui demandais quand même si je pouvais continuer mon vol sans avoir à faire un trop grand détour pour éviter le fort de Brégançon. Il me rassura en m'assurant que son locataire si ombrageux n'étais pas sur place ce jour.
Je traversais néanmoins la zone sans frémir ne serait-ce que du bout d'une aile. Il est des zones où il ne faut pas jouer au mariole.
Mon arrivée à Nice fût un ravissement, la baie des anges porte bien son nom.
Cet après-midi, je me rendis à LFMN avec une appréhension assez marquée. Ce diable de Laverdure était capable des pires blagues. J'en fût pour mon angoisse. Dès mon arrivée je fus accueilli par un Ernest volubile qui m'expliqua avec force bourrades qu'il voulait participer à mon tour de France. Il me conduisit vers un superbe T33 et m'expliqua que ce serait notre moyen de rallier Calvi (LFKC) où m'attendais la plus grosse surprise. Alors que je m'installais le plus confortablement possible (c'est à dire en total inconfort) pour profiter de ce voyage en tant que passager, le diable d'homme m'annonça que je serais le pilote. Cette fois j'avais une boule d'angoisse et je savais d'où elle venait.
Le décollage fût assez propre, si l'on excepte que la montée en puissance excessivement progressive sur ce genre d'engin me faisait craindre de ne pas avoir assez de piste. A 600 pieds, je rentrais les volets et ne faisait pas le fier lorsque la voix goguenarde de mon passager me fit comprendre que j'avais été découvert: "Dis moi Green (mon ancien indicatif), tu comptes traverser la grande bleue au ralenti?" Je fus obliger d'admettre que je ne trouvais pas la commande du train sur ce fichu appareil américain. Il reparti d'un rire tonitruant et me dis de baisser les yeux à gauche jusqu'au plancher. La traitresse était là. Quand le train fût entré l'avion pris régulièrement de la vitesse.
Je bénéficiais tout le trajet des bons conseils de ce grand blagueur et pilote remarquable. Mon approche fût sans histoire et je posais cette pièce de musée sans trop d'histoire, pas au centre de la piste, mais bon, ces machines sont très rustiques et très...particulières.
La surprise qui m'attendais dans l'île de beauté était au delà de ce que je m'étais imaginé. Le vol jusqu'ici n'avait été qu'un contrôle. Je devais à présent acheminer un des héros de ma jeunesse jusqu'à Solenzara (LFKS) où il serait pris en charge par les militaires pour le fameux musée volant des avions de la république.
Ce fauve qui m'a tant fait rêver dans ma jeunesse était un superbe Dassault Mystère 4. J'étais ému aux larmes, tel un petit garçon à qui l'on confit le plus beau jouet du monde! Le décollage au commande de ce pure sang fût un ravissement.
La traversée de la Corse se passe d'ailleurs de mots!
Mon arrivée Solenzara me laissa un goût de trop peu,
je m'appliquais à poser ce bel oiseau qui avait concouru, en temps de paix, à faire respecter la France.
J'eus du mal à m'éloigner de ce vénérable chasseur mais je savais qu'Ernest m'avait fait là un cadeau inestimable. De plus, je soupçonnais l'animal de me réserver une autre surprise pour mon retour sur le continent.
(A suivre)
Amitié, Greenhopper.
Re: Mes petits vols
Bonsoir
Ta galerie est sans nul doutes la plus interressante du forum
Je me plonge dans tes textes et je crois que la seule chose que l'on peut y reprocher, c'est que ça ne dure pas plus longtemps
Je vois qu'il y a du flou au loin sur tes screens, je te conseille d'appliquer ce tuto rapide et tu pourras profiter encore plus de tes beaux paysages : http://www.rikoooo.com/fr/forum/porte-a ... u-fsx.html
Cordialement, epdu85
Ta galerie est sans nul doutes la plus interressante du forum
Je me plonge dans tes textes et je crois que la seule chose que l'on peut y reprocher, c'est que ça ne dure pas plus longtemps
Je vois qu'il y a du flou au loin sur tes screens, je te conseille d'appliquer ce tuto rapide et tu pourras profiter encore plus de tes beaux paysages : http://www.rikoooo.com/fr/forum/porte-a ... u-fsx.html
Cordialement, epdu85
- janeg
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Re: Mes petits vols
Ah, mon ami Green Que tes histoires sont belles et bien écrites ! C'est un véritable plaisir de les lire dans le détail. Epdu85 parlait d'un brin de talent. . . je rectifie, c'est du grand talent.
Très amicalement,
Jane et Janeg
PS: Jane est fan de tes histoires, et attend chaque jour la suite.
Très amicalement,
Jane et Janeg
PS: Jane est fan de tes histoires, et attend chaque jour la suite.
- janeg
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Re: Mes petits vols
Ah, mon ami Green, que tes histoires sont belles, et bien écrites !! C'est un véritable plaisir de les lire dans le détail. Epdu85 parlait d'un brin de talent . . . Je rectifie, c'est du grand talent.
Très amicalement,
Jane et Janeg
PS: Jane est " fan " de tes histoires, et attend chaque jour la suite.
Très amicalement,
Jane et Janeg
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- yaya49000
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Re: Mes petits vols
Ta galerie est superbe et les récit sont très bien.